articles
Analphabétisme au Québec : des chiffres qui en disent long; Ici Radio Canada Première, 3 octobre2016
Alphabétisation : une histoire de mots doux; Radio-Canada, dimanche le 22 juin 2014
Près de la moitié des adultes ne savent pas lire; La Presse.ca, Annie Mathieu, mercredi le 18 septembre 2013
Alphabétisme et formation de base - Nécessaire 24 heures! «Il faut que le Québec se donne une stratégie en matière d'éducation des adultes»; Le Devoir, Pierre Vallée, 30 mai 2013
Centre Yves Thériault - La Francisation est un premier pas vers l'intégration; Le Devoir, Martine Letarte, jeudi 30 mai 2013
L'analphabétisme persiste au Québec; Radio-Canada, dimanche le 19 mai 2013
Québec : un immigré sur cinq ne parle pas français; La Presse, Stéphanie Marin, le 8 mai 2013
Près d'un québécois sur trois a de la difficulté à lire; La Presse, Stéphane Champagne, lundi le 1er avril 2013
Les Grands Débrouillards contribuent à la Lecture en cadeau; Le Soleil de Salaberry-de-Valleyfield, samedi le 16 mars 2013
Pour une meilleure intégration au «nous» québécois; Le Devoir, jeudi 14 mars 2013
Contrer l'analphabétisme avant l'homophobie; Urbania, Judith Lussier
Forum de la langue française - Claude Hagège s'oppose à l'enseignement intensif de l'anglais; Le Devoir, Christian Leroux, 5 juillet 2012, Québec
Conversation démocratique en loques - Prise de tête - La chronique de Normand Baillargeon; Voir.ca
Défaitisme ou fatigue ou quoi d'autre? Fatalisme?; Le Devoir, Luc Archambault, 26 octobre 2012
Intégration des immigrants - La bibliothèque pour rompre l'Isolement; Le Devoir, Isabelle Porter, 27 octobre 2012
La Presse.ca
Le Soleil
Publié le 15 septembre 2014 à 05h00 | Mis à jour le 15 septembre 2014 à 05h00
Mieux comprendre l'alphabétisation
Une personne sur cinq éprouve, au Québec, des difficultés majeures à comprendre et à utiliser un texte écrit.
Marie-Pier Cayer
Le Soleil (Québec)
Pour mieux comprendre l'alphabétisation, la Fondation pour l'alphabétisation et le Conseil canadien pour l'apprentissage se basent sur des niveaux de littératie allant de 1 à 5.
La Fondation pour l'alphabétisation considère également un niveau -1, depuis 2013, pour englober l'apprentissage numérique (ordinateur, guichet automatique, etc.).
Avec l'ajout de ce sixième niveau, 1 000 000 de québécois sont considérés comme analphabètes. Et les besoins de formation ne cessent d'augmenter.
Niveau 1 : L'adulte a des compétences très faibles. Il a du mal à déchiffrer le nom des rues, par exemple.
Niveau 2 : La personne est capable de lire des textes simples et est capable de se débrouiller dans la vie de tous les jours, mais a de la difficulté à développer de nouvelles connaissances professionnelles.
Niveau 3 : C'est le minimum convenable pour composer avec les exigences de la vie quotidienne et du travail dans une société complexe. Un adulte atteignant le niveau 3 est en général capable de décrocher son diplôme d'études secondaires et accéder aux études supérieures.
Pour lire la suite de l'article : Mieux comprendre l'alphabétisation
statistiques
Alphabétisation
Définitions:
analphabétisme : état d'une personne qui n'a jamais appris à lire et à écrire.
illettrisme : état d'une personne qui a appris à lire et à écrire, mais qui n'a pas acquis, ou a perdu, la maîtrise de
la lecture, de l'écriture et même du calcul. Au Canada, le terme «analphabétisme» intègre l'illettrisme.
littératie : capacité d'une personne à lire et à écrire mesurée selon 5 échelons ou niveaux. Le minimum pour
fonctionner dans une société et dans une économie modernes est l'atteinte du niveau 3.
Statistiques
Nombre d'adultes de 16 à 65 ans dont les compétences en lecture et compréhension de textes suivis sont jugées
«faibles» (niveau 2 et moins) :
- Canada = 47.7%
- Province de Québec = 54.6%
- Ville de Salaberry-de-Valleyfield = 61.3%
Note : Les statistiques proviennent du Conseil canadien sur l'apprentissage (2006).
Définitions:
analphabétisme : état d'une personne qui n'a jamais appris à lire et à écrire.
illettrisme : état d'une personne qui a appris à lire et à écrire, mais qui n'a pas acquis, ou a perdu, la maîtrise de
la lecture, de l'écriture et même du calcul. Au Canada, le terme «analphabétisme» intègre l'illettrisme.
littératie : capacité d'une personne à lire et à écrire mesurée selon 5 échelons ou niveaux. Le minimum pour
fonctionner dans une société et dans une économie modernes est l'atteinte du niveau 3.
Statistiques
Nombre d'adultes de 16 à 65 ans dont les compétences en lecture et compréhension de textes suivis sont jugées
«faibles» (niveau 2 et moins) :
- Canada = 47.7%
- Province de Québec = 54.6%
- Ville de Salaberry-de-Valleyfield = 61.3%
Note : Les statistiques proviennent du Conseil canadien sur l'apprentissage (2006).